


L’idée centrale qui a inspiré Alexandra dans la création de ses œuvres : une dévotion à l’océan, considéré comme un être vivant et sensible.

«Monde sous-marin» 2025 30×30 cm, toile, acrylique.

«Super shark» 2025 50×30 cm, toile, acrylique.

« À travers le hublot» 2025 40×40 cm, toile, acrylique

« Après la tempête » 2025 80×60 cm, toile, acrylique.
« Après la tempête » est un moment de silence entre destruction et renaissance.
Un navire échoué, incliné dans les vagues turquoise, a survécu à la tempête — tout comme la nature elle-même, que l’homme met si souvent à l’épreuve.Le turquoise de cette œuvre ne relève pas simplement de l’esthétique. Il est la voix de l’eau — sa profondeur, sa pureté — que nous avons le devoir de préserver.

« Monde inexploré » 2025 50×50 cm, toile, acrylique.
«Monde inexploré» est un appel à protéger ce que l’humanité n’a pas encore exploré, mais qu’elle commence déjà à perdre.L’élément central du tableau est un panneau de signalisation, au milieu d’une mer turquoise, portant la silhouette d’une sirène. Un geste artistique, un avertissement visuel : «Attention : ici vit quelque chose de fragile, de mythique, de vivant…»

« L’Ombre du Danger» 2025 20×20 cm, toile, acrylique.
Le tableau « L’Ombre du Danger» soulève une question : de quoi, ou de qui, devrions-nous réellement avoir peur ?La silhouette d’un requin de récif, glissant dans une eau turquoise cristalline, évoque une menace. Mais c’est son ombre — déformée, exagérée — qui reflète notre perception de la peur, bien souvent décalée de la réalité.

«La puissance de l’océan» 2025 20×20 cm, toile, acrylique.
Une nageoire tranchant la surface turquoise n’est pas une menace, mais un rappel : l’océan a déjà un maître.«La puissance de l’océan» ne parle pas de peur, mais d’une énergie primordiale que l’homme tente de dominer — en oubliant qu’il en dépend.

«Coucher de soleil à l’équateur» 80х60 cm, toile, acrylique.

« La Sirène» 70×50 cm, papier, acrylique.